DROIT   IMMOBILIER  &    DROIT DES AFFAIRES

          

PARIS

COVID 19 et dispositif VISALE : vigilance absolue en cas d’impayés de loyers

La garantie VISALE est un mécanisme institué il y a quelques années pour permettre à plus de 320.000 ménages (page 22 du rapport pour 2018) de bénéficier d’une caution de l’Etat par l’intermédiaire d’ACTION LOGEMENT.Loin d’être parfait, le dispositif a été amélioré au...

Bail commercial : Face au COVID 19, mieux que la suspension des loyers, la révision triennale

  La plupart des baux commerciaux comporte une clause d’indexation qui occulte l’existence du jeu de la révision légale. Or la révision triennale (tous les trois ans) des articles L 145-37 et L 145-38 du code de commerce est...

Covid 19 et renouvellement du bail commercial : opportunités ?

En pleine crise du corona virus et confinement quasi généralisé (au moment où j’écris cet article), il est probable que le marché immobilier sera impacté et que la valeur locative sera dépréciée.
Cela sera un excellent moyen pour négocier avec le bailleur un loyer dans les meilleures conditions.

Force majeure, COVID 19 et bail commercial

Le preneur dont le commerce est fermé en raison des mesures de confinement, et qui ne peut payer son loyer, de bonne foi, peut naturellement, mais un peu vite, estimer qu’il est dans un cas de force majeure.
Cette impression est renforcée par le fait que le terme a été employé par certains ministres.
Examinons si et dans quelles conditions un preneur à bail commercial est en mesure d’invoquer la force majeure pour ne pas payer ses loyers.

Le diagnostiqueur ne peut s’exonérer en indiquant que les investigations comportaient des sondages destructifs

Manque à ses obligations le diagnostiqueur qui se limite à effectuer un repérage sur les matériaux et produits accessibles, sans sondages sonores suffisants à lui faire suspecter la présence d’amiante (Cass, 3ème civ, 17 septembre 2009, n° 08- 17.130).

Bail commercial et travaux : ravalement, liberté contractuelle et articles 605 et 606 du code civil

Bail commercial et travaux : ravalement, liberté contractuelle et articles 605 et 606 du code civil

A la différence du bail d’habitation, très réglementé au sujet des charges locatives, le bail commercial est soumis à la liberté contractuelle.

La plupart du temps, la charge des travaux est fixée par références aux articles 605 et 606 du code civil, deux articles qui ne concernent pas les contrats de location mais la répartition des travaux entre l’usufruitier et le nu-propriétaire, dans les cas de démembrement du droit de propriété.

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Faire tomber les intérêts d’un prêt immobilier ou à la consommation : vérifiez vos prêts !

En matière de prêt immobilier, l’absence de mention du TEG tel qu’il résulte de l’article L. 313-1 Code de la consommation, la déchéance des intérêts doit recevoir application (civ 1ère, 23 novembre 1999, pourvoi n° 97-14.955).

Idem lorsque la mention d’un TEG est erronée (Civ. 1ère, 9 novembre 2004, pourvoi n° 02-20.664).

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Honoraires Droit Immobilier

  Evaluez les honoraires et frais d'une procédure en droit immobilier. Même si cette évaluation reflète le montant des honoraires à prévoir, elle n'est pas contractuelle. En cas de procédure, un honoraire de...

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Bail Commercial : Nullité du congé avec offre de renouvellement : Indivision, démembrement de propriété, prescription quinquennale et garantie du propriétaire fautif

Dans un arrêt du 8 septembre 2010, la Cour d'Appel de Paris (CA PARIS POLE 4 CHAMBRE 2- 8 septembre 2010) s'est récemment prononcée sur l'indemnisation d'un trouble anormal de voisinage à Paris, avenue de la Motte Picquet Grenelle, en raison de l'activité de LA POSTE....

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Bail commercial : Nullité du congé avec offre de renouvellement : Indivision, démembrement de propriété, prescription quinquennale et garantie du propriétaire fautif

La décision rendue le 13 mai 2009 par la 16ème Chambre A de la Cour d’appel de Paris se prononce sur de nombreux points essentiels du contentieux de l’annulation de congé délivré par le nu-propriétaire (également indivisaire) sans accord des usufruitiers et...

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Les associés fondateurs du Cabinet 

 

Le Cabinet OPTIMUM AVOCATS est né de l’association de Maître Jacques TEITLER et de Maître Julien ATTALI en 2006.

 

Maître Julien ATTALI, Avocat au Barreau de Paris, est l’un des rares Avocats actuels à disposer d’un double parcours professionnel juridique: il dispose en plus de ses compétences d’Avocat, d’un cursus validé de Notaire.

Maître Julien ATTALI est titulaire d’une maîtrise en Droit Privé validée à la Faculté de Droit de BORDEAUX IV – Montesquieu, l’une des plus prestigieuses universités françaises.

Maître Julien ATTALI est également titulaire du Diplôme d’Aptitude aux Fonctions de Notaire, Validé auprès du Centre de Formation Professionnel des Notaires de Montpellier, après avoir été reçu à l’examen d’entrée Major avec mention d’honneur du jury.

Maître Julien ATTALI est l’auteur et l’animateur du blog juridique en droit immobilier.

Il pratique le droit, à l’université ou en tant que professionnel depuis 1992, soit depuis bientôt 25 ans.

 

 

Maître Jacques TEITLER, Avocat au Barreau de Paris, Avocat expérimenté et réputé pour ses grandes connaissances en doit des baux, notamment pour les baux dit loi de 1948.

Ancien Chargé d’enseignement à la Faculté de Droit de Paris,

Titulaire du Certificat de spécialisation en droit des Baux et en Droit de la Copropriété.

Maître Jacques TEITLER a été admis à l’honorariat en 2009. 

A ces compétences juridiques qui ont fait la réputation du Cabinet OPTIMUM AVOCATS, s’ajoutent une implication dans chaque dossier, pour défendre toujours au mieux les intérêts qui lui sont confiés.

 

Avec une grande détermination et en instaurant des relations harmonieuses et transparentes avec ses clients, le Cabinet OPTIMUM AVOCATS exerce exclusivement en droit immobilier et en droit des affaires, tant en contentieux qu’en conseil et rédaction d’actes.

 

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